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Interviews, essays and commentary published by The Dance Current.

Wednesday, August 24, 2011

Feature: Micro/Macro: Dimensions of Dance on Film and Video

Article by Kathleen Smith

Summary | Sommaire

Members of Tanztheater Wuppertal Pina Bausch in a still from the film Pina directed by Wim Wenders / Photo by Donata Wenders, courtesy of Neue Road Movies GmbH

Dance for the screen seems to be simultaneously shrinking and expanding in ways we don’t yet fully understand. But one thing is clear – micro or macro – it is more ubiquitous than ever.

La danse à l’écran semble simultanément se condenser et se dilater de façons encore difficiles à cerner avec précision. Chose certaine, à l’échelle micro ou macro, elle est plus omniprésente que jamais.

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Dance for the screen seems to be simultaneously shrinking and expanding in ways we don’t yet fully understand. But one thing is clear – micro or macro – it is more ubiquitous than ever. Dance has probably never had a higher profile on broadcast television. At the same time, there has been a proliferation of on-demand alternative outlets for dance media consumption such as the New York-based digital network TenduTV, streaming dance content for download. And solo dance goes truly micro with the cell phone app Dances for an iPhone. At the same time as screens are shrinking, dance as big screen cinema also seems to be undergoing a kind of renaissance, from films about dance (Darren Aronofsky’s The Black Swan, for example), to explorations in stereoscopic 3D, to live streaming of major dance productions in cinemas and on screens in public spaces. Add to this the vast galaxy of Vimeo and YouTube-style video sites and you get a popularization and democratization of dance on a scale previously unimagined. Technology can’t prevent humans from communally shared cultural experiences; and in fact the screen can work for and with rather than against the body-based art forms we love.

La danse à l’écran semble simultanément se condenser et se dilater de façons encore difficiles à cerner avec précision. Chose certaine, à l’échelle micro ou macro, elle est plus omniprésente que jamais. La danse n’a jamais joui d’une couverture si favorable à la télévision. En même temps, il y a prolifération de sources alternatives sur demande pour la consommation médiatique de danse. Par exemple, le réseau numérique basé à New York TenduTV propose un contenu téléchargeable pour la lecture en continu. Et la danse solo adopte véritablement le mode micro avec l’application Dances pour le iPhone. En parallèle à la réduction de la taille des écrans, la danse au grand écran connaît aussi une sorte de renaissance, de films sur la danse (comme The Black Swan de Darren Aronofsky) à des explorations en 3D stéréoscopique, à la diffusion en continu de productions de danse d’envergure dans les cinémas et sur des écrans dans des lieux publics. Ajoutez à cela la vaste galaxie de sites vidéo dans le genre Vimeo et YouTube, et vous avez la popularisation et la démocratisation de la danse à une échelle jusque-là insoupçonnée. La technologie ne peut pas empêcher les expériences culturelles partagées. En effet, plutôt que de leur nuire, l’écran peut favoriser les formes d’art liées au corps que nous aimons tant.


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