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Interviews, essays and commentary published by The Dance Current.

Monday, April 23, 2012

Report: What's in a name?

The Meaning of ‘Festival’
By Philip Szporer

Summary | Sommaire
Bird's Eye View by Karen Kaeja for the Guelph Contemporary Dance Festival's In the Park Series (2010) / Photo by Anuta Skrypnychenko

At a time when the term itself has become a tool for marketing any number of events and activities, what is at the heart of the concept?

Alors que le mot « festival » est devenu un outil de mise en marché pour nombre d’événements et d’activités, qu’y a-t-il au cœur du concept ?

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At a time when the term itself has become a tool for marketing any number of events and activities, what is at the heart of the concept? Philip Szporer talks to a variety of directors and visionaries on what ‘festival’ means to them. For some, it is a gathering place for trading ideas and sampling more risky programming. For others, it’s a mechanism for developing bigger, better, more educated audiences. But everyone interviewed here – from Nicole Mion in Calgary (Fluid Festival) to Marie-Hélene Falcon in Montreal (Festivals TransAmériques FTA) to Donna Spencer in Vancouver (Dancing on the Edge) - agrees that festivals are still a fundamental component of a healthy dance presentation environment. And each comments on the festival’s many points of entry, and how an exploration about art can be shared with the public. As FTA’s Falcon says, “We see people open their minds to a range of internal experience.” Vancouver’s Spencer concurs, “Audiences are more willing to take risks with work during a festival than in a dance series.” This immersive heterogeneous perspective transcends a particular choreographer, tradition, or performance. And, as Jacob’s Pillow artistic director Ella Baff points out, “People surprise themselves. I still believe ‘more exposure, more appetite, more risk’.”

Les déclinaisons du festival
Alors que le mot « festival » est devenu un outil de mise en marché pour nombre d’événements et d’activités, qu’y a-t-il au cœur du concept ? Philip Szporer interviewe une variété de directeurs et de visionnaires sur le sens du mot. Pour l’un, le festival est un lieu de rencontre propice à l’échange d’idées et à une programmation audacieuse. Pour l’autre, c’est un mécanisme qui permet de développer le public en nombre et en sensibilité. Mais tous – de Nicole Mion à Calgary (Fluid Festival), à Marie-Hélène Falcon à Montréal (Festival TransAmériques (FTA)), à Donna Spencer à Vancouver (Dancing on the Edge) – s’accordent sur le festival comme composante essentielle d’un sain environnement de diffusion de danse. Chacun note les points d’entrée multiples du festival, et l’exploration partagée de l’art par les artistes et les spectateurs. « Nous témoignons que les personnes s’ouvrent à une gamme d’expériences intérieures », note Falcon, du FTA. Spencer, de Vancouver, abonde en ce sens. « Le public est plus porté à prendre des risques lors d’un festival que lors d’une programmation régulière », affirme-t-elle. La perspective hétérogène et immersive de la forme transcende un chorégraphe, une tradition ou un spectacle particulier. Et « les gens se surprennent », souligne Ella Baff, directrice du festival Jacob’s Pillow. « Je crois encore que plus il y a de l’exposition, plus il y a un appétit, plus il y a de prise de risque », ajoute-t-elle.


Read the full report in the May/June 2012 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral dans l’édition imprimée de mai/juin 2012 du Dance Current.
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